Le Corbusier

Casas rurales . Lagny


proyectos 4 etsa . + fondation lecorbusier

El proyecto consta de una serie de viviendas unifamiliares de dos plantas.



La planta de abajo se encuentra prácticamente solo protegida por el forjado superior excepto el núcleo vertical de comunicación y la estancia destinada a garaje, el resto esta dotado de pilotes. Estas casas serían construidas con perfiles de acero, barras corrugadas de aluminio y mobiliario interior industrializado. Un muro de mampostería sirve para separar las partes medianeras entre dos casas.
Por otro lado, esta empresa ha permitido el retorno a los planes de las «Casas Loucheur» que han estado inactivos desde 1929. Los hechos ocurrieron de esta manera: El ministro Loucheur había declarado a Le Corbusier: “Sus planos son perfectos, debes construir miles de casas como estas”. Le Corbusier había respondido: “Nunca se llegará a su construcción”. Y, por desgracia, es cierto que por considerar la casa como una “máquina para vivir”, había provocado reacciones violentas, particularmente en los Estados Unidos.

Ces maisons rentrent dans les initiatives favorisées par la loi. Elles seront construites en fers profilés tôle d'aluminium pliée et agencements de menuiserie intérieure industrialisée. Un mur de maçonnerie sert d'adossement chaque fois à deux maisons jumelées. Le problème posé est d'une banalité totale. Par contre, la réalisation a permis de reprendre les plans des "Maisons Loucheur" restés sans suite en 1929. Les choses s'étaient passées ainsi : Le Ministre Loucheur avait déclaré à Le Corbusier: "Vos plans sont parfaits; vous construirez des milliers de ces maisons." Le Corbusier avait répondu: "Je n'en construirai pas une." Et c'était vrai, hélas! car la tournure d'esprit de considérer la maison comme une "machine à habiter" avait provoqué des réactions violentes, très particulièrement aux États-Unis.
De plus, l'industrie n'était pas prête, elle n'était même pas alertée. Le Pavillon de l'Esprit-Nouveau à l'Exposition Internationale des Arts Décoratifs de 1925 affichait une grande pancarte : "L'industrie doit s'emparer du bâtiment", ce qui, hélas, ne fut pas le cas pendant longtemps. Il a fallu attendre trente années pour que petit à petit, et puissamment maintenant, les techniciens de la physique, de la chimie, de la mécanique, les chefs d'affaires et de l'économie générale du pays considèrent enfin que le bâtiment (le logis) est un des plus grands besoins humains et par conséquent, l'un des objets de fabrication représentant une production de masse gigantesque.


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